Gaétan NOCQ s’est d’abord frotté à l’expérience du carnet de voyage et de reportage en France et à travers le monde. Cette démarche de dessin sur le vif lui a permis de développer un regard sensible sur la vie humaine et son environnement.
De cette expérience, il a développé une « écriture » du mouvement et de la couleur qu’il injecte dorénavant dans ses romans graphiques.
Pleinement engagé sur les chemins de la narration, il adapte des témoignages humains dans un contexte de guerre (la guerre d’Algérie vue par un appelé, la révolution Bolchevique vue par un capitaine de l’armée blanche).
Il se définit comme un « passeur de mémoire », une mémoire individuelle qui fait écho dans la grande Histoire.
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